Dénouement cruel.

Comme l’an dernier, la septième journée a été fatale à l’AS Cannes. En effet, après avoir ouvert la marque sur le terrain du Gazélec d’Ajaccio au terme du premier quart d’heure par l’intermédiaire de l’inévitable Kielt, les ascéistes ne sont pas parvenus (et ce, une fois de plus) à aggraver la marque, le score n’évoluant plus jusqu’à la pause. Une première période au cours de laquelle les hommes de Jean-Noël Cabezas ont fait preuve de maîtrise en dépit d’un engagement parfois excessif de la part des insulaires. Hélas, vingt minutes après la reprise, les locaux sont parvenus à égaliser malgré une belle résistance rouge et blanche. Ayant repris la direction des opérations, les joueurs du club de la Croisette ont malheureusement encaissé un second but au bout du temps additionnel alors qu’un résultat nul aurait paru logique, eu égard au déroulement de ce match. Certes, l’AS Cannes conserve la tête du classement mais cette défaite (1-2) quelque peu cruelle permet à son adversaire du jour de revenir à la deuxième place.