Jamais deux sans trois. 

Publié le par Coubertin

L’AS Cannes n’a pas fait mentir l’adage. En effet, après Le Puy (N2) et Rodez (L2), le club de la Croisette est parvenu à se défaire (1-1, 3 t.à.b. à 2) d’un troisième adversaire hiérarchiquement supérieur, en l’occurrence Dijon FCO (Ligue 2) au terme d’une séance de tirs au but à rebondissements au cours de laquelle Verplanck, le portier rouge et blanc, s’est encore illustré de façon magistrale en stoppant deux tentatives adverses. Auparavant, les ascéistes avaient fait mieux que se défendre lors de ces trente-deuxièmes de finale de coupe de France en dominant globalement leurs homologues bourguignons. Néanmoins, arrivés à la pause sur un score nul et vierge en dépit de plusieurs possibilités d’ouvrir la marque, les hommes de Jean-Noël Cabezas se faisaient surprendre sur coup franc dès l’entame du deuxième acte, avant de repartir à l’assaut et d’égaliser fort logiquement à vingt minutes du terme devant un très nombreux public en liesse totalement acquis à leur cause. Malgré cette belle dynamique qui aurait pu lui permettre de porter l’estocade avant la fin du temps réglementaire (augmenté de sept minutes supplémentaires), c’est donc lors d’une troisième séance de tirs au but consécutive au sein de cette prestigieuse compétition que l’AS Cannes a brillamment décroché son billet pour les seizièmes de finale de l’épreuve reine du football hexagonal. 

 

 

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